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Numérique et restaurations indirectes unitaires partielles postérieures : l'évidence actuelle

Le recours au laboratoire de prothèse au sein d'un flux de travail numérique permet de profiter des avantages de l'empreinte optique tout en déléguant la conception et la fabrication au prothésiste.

Drs Thibault Canceill, Julien Delrieu, Karim Nasr, publié le 19 février 2021

Numérique et restaurations indirectes unitaires partielles postérieures : l’évidence actuelle

Les restaurations indirectes unitaires partielles dans le secteur postérieur englobent inlays, onlays, overlays ou encore veneerlays (Fig.1). Elles peuvent être réalisées en céramique ou en composite. Récemment revalorisées par l'Assurance maladie, elles sont un élément important et routinier de notre arsenal de soins, en phase avec la notion de gradient thérapeutique tel qu'il fut défini il y a maintenant presque 10 ans [1].

Ces traitements, simples en apparence, demandent de relever quelques défis : conservation tissulaire, voire de la vitalité le cas échéant, demande esthétique, temporisation, sensibilités, collage... La CFAO directe a montré depuis plus de 30 ans qu'il était possible de réaliser ces soins lors d'une seule et même séance clinique, par l'intégration d'un flux de travail numérique complet à la structure de soins, de l'empreinte optique à l'usinage en passant par le design de la pièce. Cependant...

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