Cas de réhabilitation implantaire
Ce traitement s'inscrit dans une logique de coordination et de vision globale mêlant orthodontie, chirurgie et prothèse.

Lorsqu'une patiente pousse la porte du cabinet, ce n'est pas seulement un besoin technique qu'elle exprime, mais souvent une histoire silencieuse, faite d'habitudes, de renoncements, de résignations, parfois de déceptions. C'est le cas de cette femme d'une cinquantaine d'années, venue consulter pour enfin « se débarrasser » d'une prothèse amovible partielle en résine qu'elle portait depuis de nombreuses années pour compenser l'absence de son incisive centrale maxillaire gauche (21). Inconfortable, instable, source de gêne sociale et fonctionnelle, cette prothèse représentait à ses yeux un compromis subi, qu'elle avait accepté par défaut plus que par conviction.
Longtemps résignée, elle s'était peu à peu convaincue que ce dispositif était son unique solution. Pourtant, ce jour-là, elle venait avec une volonté nouvelle : celle de tourner la page, et d'accéder enfin à une solution fixe, qu'elle espérait rapide, simple et définitive. Sa demande était...
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