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Compenser les mouvements sur les images CBCT

Cette solution corrige les artefacts liés aux mouvements du patient.

Publi-rédactionnel, publié le 13 mai 2020

Compenser les mouvements sur les images CBCT

Planmeca propose avec Calm une solution pour corriger les artefacts liés aux mouvements sur les images CBCT. L’acronyme Calm signifie Algorithme de correction des mouvements latents (Correction Algorithm for Latent Movement). Cet algorithme d’optimisation de la géométrie de projection est capable d’analyser et de compenser les mouvements du patient sur les images CBCT. Il permet d’obtenir une image améliorée et évite d’avoir à reprendre un cliché, ce qui fait gagner du temps et optimise la sécurité des patients.

Les mouvements du patient sont l’un des principaux défis en matière de qualité des images CBCT. Lorsqu’un patient bouge pendant la procédure d’imagerie,

cela génère des artefacts qui affectent la qualité de l’image. Lorsque le patient bouge, les données ne s’additionnent plus, phénomène qu’on peut observer dans la reconstruction. Planmeca Calm restaure la cohérence des mesures aux rayons X en suivant les mouvements du patient, ce qui permet d’obtenir une image finale plus nette.

Le système fonctionne avec toutes les tailles de volume et de voxel et ajoute à peine 30 secondes au temps de reconstruction total. La fonction peut être appliquée une fois l’analyse terminée, mais également avant l’exposition, afin d’être sûr que les volumes sont déjà corrigés lorsqu’ils sont accessibles via le logiciel Planmeca Romexis.

« Des images nettes et précises » Dr Margaux DELPLANQUE

Nous constatons que cette nouvelle solution de correction des artefacts permet d’améliorer grandement la qualité de lecture de nos clichés CBCT. Au cabinet, nous l’utilisons généralement pour les actes d’endodontie, ce qui nous apporte des images nettes et précises intégrant un nombre important de détails.

Ce nouveau protocole Planmeca Calm nous permet de compenser les mouvements du patient qui peuvent intervenir lors de l’examen d’imagerie et ainsi de corriger les artefacts pouvant être générés.

En effet, lorsque le patient bouge au cours de la procédure d’imagerie, les artefacts affectent la qualité de l’image obtenue. Cette fonction permet d’autre part de préserver les patients de nouvelles expositions inutiles.

« Éviter de reprendre un second cliché » Dr Grégory DOUILLY

Je constate une diminution importante des artefacts et l’image apparaît beaucoup plus précise. Au départ, j’utilisais cette fonction uniquement avec les enfants et les adultes handicapés. Maintenant, je l’utilise avec tous les patients. J’ai une activité chirurgicale exclusive et travaille uniquement avec des correspondants. Certains, équipés de la même machine mais sans cette option, m’ont contacté pour savoir pourquoi les images que je leur faisais parvenir étaient de meilleure qualité que celles qu’ils avaient avec leur cone beam. Je vois plusieurs intérêts à cette solution, le premier est d’éviter de reprendre un second cliché si le premier n’est pas assez précis, du fait d’un mouvement léger du patient (déglutition par exemple). Le second est d’avoir un diagnostic plus précis, notamment pour les clichés endodontiques de fêlures et fractures radiculaires.

Il est très difficile de ne pas avoir de patients qui bougent lors d’un examen d’imagerie. Ils peuvent bouger lorsqu’ils déglutissent ou touchent le carénage de l’appareil avec les épaules, s’ils ont une forte carrure. Nous sommes cinq praticiens dans notre cabinet orienté vers l’implantologie. Lorsque nous n’avions pas ce système, certaines images n’étaient pas exploitables du fait d’une mauvaise lecture, ce qui n’est plus le cas maintenant. Avec cette solution, nous n’avons aucun problème de mouvement.

«  Aucun problème de mouvement  » Dr Philippe JOURDAN

Nous constatons notamment de bons résultats à la mandibule. Le patient est moins irradié car nous ne sommes pas obligés de reprendre une image. C’est un gain de temps et cela s’avère particulièrement appréciable vis-à-vis du patient d’avoir un résultat du premier coup.

«  L’acquisition d’images sans artefacts  » Dr Fabrice CALASTRENG

La correction des artefacts de mouvement grâce à cet algorithme est une avancée significative dans la réalisation d’images en tomographie volumique. En effet, les systèmes actuels permettent d’obtenir des images de très haute définition : les mouvements, même très légers, du sujet lors de la prise d’image nuisent à la qualité des informations enregistrées. J’active de manière systématique la fonction Calm, surtout si je diminue la taille du voxel, en diagnostic endodontique par exemple. Couplé à la réduction d’exposition proposée, on obtient des images de très haute qualité avec une dose optimisée. C’est un excellent outil de communication qui élève le niveau de confiance de nos patients. De plus, dans le cadre d’une pratique implantaire, l’acquisition d’images sans artefacts est essentielle en vue de la confection de guides en CAD-CAM.

 

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